Le Umidigi Bison Pro est annoncé
Umidigi vient d’annoncer un tout nouveau smartphone, le Umidigi Bison Pro. Vous allez voir dans cet article les premières informations que l’on connait.
Umidigi Bison Pro, le nouveau smartphone de la marque
L’Umidigi Bison Pro mesure 165 x 79,2 x 12,1 millimètres. Il est donc assez épais, ce qui est typique d’un téléphone d’extérieur. Côté design, on remarque les protections en caoutchouc sur les bords de l’appareil. Pour un téléphone d’extérieur, ils sont relativement discrets. Contrairement à de nombreux produits concurrents, Umidigi n’utilise pas de couleurs vives, ce qui rend le Bison Pro plus discret dans l’ensemble.
Malgré l’épaisseur de l’appareil, Umidigi ne parvient pas à faire rentrer les caméras dans le boîtier. Au lieu de cela, il utilise un grand monticule de caméra pour accueillir les quatre capteurs arrière.
Comme d’habitude avec les téléphones d’extérieur, le Bison Pro est protégé contre l’eau et la poussière selon les normes IP68 et IP69. En conséquence, le téléphone est adapté à une baignade d’une demi-heure dans 1,5 mètre d’eau et est capable de résister à un jet haute pression de cent bars.
À l’avant du smartphone Umidigi se trouve un écran Full HD de 6,3 pouces. Il en résulte une densité de pixels de 409 pixels par pouce – une valeur plus que suffisante pour afficher tout le contenu de manière nette. Umidigi spécifie Gorilla Glass comme verre de protection pour le Bison Pro. Il n’est pas clair quelle version du verre spécial est utilisée.
L’Umidigi Bison Pro est alimenté par le MediaTek Helio G80. Comparé au Helio G95 du Bison GT, le processeur est nettement plus faible. Comparé au Helio P60 de l’Umidigi Bison normal, le processeur peut cependant obtenir des résultats légèrement supérieurs dans Antutu. Les performances devraient facilement suffire pour toutes les tâches quotidiennes, et même un jeu ou deux ne posent aucun problème avec le Helio G80. Le processeur est soutenu par 4 ou 8 gigaoctets de RAM LPDDR4X. Avec 8 gigaoctets de RAM à bord, le multitâche ne devrait pas non plus poser de problème. Le Bison Pro est équipé d’une mémoire de disque dur de 128 Go pour le stockage de photos, de musique et autres. Si vous le souhaitez, vous pouvez étendre la mémoire avec une carte microSD. Côté logiciel, Umidigi s’appuie sur le dernier Android 11. Une mise à jour vers Android 12, qui est dans les starting-blocks, n’est pas prévue.
Pour les photos et les vidéos, l’Umidigi Bison Pro est équipé de quatre caméras. Il s’agit d’une caméra principale de 48 Mpx de Sony, d’une caméra ultra grand angle de 16 Mpx avec un champ de vision de 118 degrés, d’une caméra macro de 5 Mpx et d’un thermomètre infrarouge. Les trois premiers capteurs sont absolument standard dans les téléphones extérieurs de milieu de gamme et seront très probablement bons pour un cliché ou deux et pas beaucoup plus. Le dernier capteur, cependant, est très intéressant, à savoir un thermomètre à infrarouge. Au moins une bonne idée. Malheureusement, Umidigi ne donne pas beaucoup plus d’informations sur le capteur, c’est pourquoi nous ne savons pas exactement à quoi le thermomètre peut être utilisé ni comment. Les selfies peuvent être pris avec un appareil photo de 24 Mpx. Umidigi met ça dans une encoche en forme de goutte d’eau.
Sinon, les options de connectivité sont assez standard. Comme sur le Oukitel WP10 5G, le LTE est disponible, y compris la bande 20, ainsi que Wifi 5, Bluetooth 4.2, NFC et le positionnement via GLONASS et GPS. L’Umidigi Bison Pro peut être déverrouillé grâce à un capteur d’empreintes digitales monté sur le côté. Les autres capteurs sont le baromètre, l’accélération, la proximité, la lumière ambiante, la boussole et le gyroscope. Ils sont rejoints par le thermomètre infrarouge situé à l’arrière. Le Bison Pro dispose également d’une prise jack de 3,5 mm. La batterie de 5000mAh du téléphone peut être chargée jusqu’à 18 watts.
Le Umidigi Bison Pro sera donc un smartphone à la fois résistant et qui propose de très bons capteurs photos.
Loic est spécialisé dans le high tech et est passionné de nouvelles technologies. Il rédige depuis 2020 des articles pour le site Sotactile.
